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Monday, August 3, 2020

Giovanni Agnelli et le cheval de Tripoli - Les Échos

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L'année 1976 est à marquer d'une pierre blanche dans l'histoire de Fiat et des Agnelli. D'abord, c'est l'année de la naissance de John Elkann, le futur « dauphin » et l'aîné des trois enfants que Margherita Agnelli, la fille de Gianni Agnelli, aura de son mariage fugace avec l'écrivain Alain Elkann. C'est aussi celle du bref intermède de l'arrivée d'un jeune quadra ambitieux, Carlo De Benedetti, dit l'« Ingegnere », à la tête de Fiat, au côté du fidèle centurion Cesare Romiti. Il n'y restera que cent jours. L'idylle entre l'« Avvocato » et l'« Ingegnere » aura été brève. Avec 400 milliards de lires de dettes (2 milliards de francs de l'époque), l'empire turinois fait eau de toutes parts. C'est l'automne de tous les dangers.Giovanni Agnelli a décliné la solution de l'entrée de l'Etat dans le groupe automobile. Faute de solution miracle, il se lance dans un pari risqué et audacieux que lui seul pouvait oser : faire renflouer Fiat par l'Etat libyen, en pleine guerre froide.

« Prendre l'argent où il se trouve »




August 04, 2020 at 11:52AM
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